Au mitan des années septante, un étrange marin breton plantait sa rame sur les terres d’Ocre, laissant la mer déchaînée à sa place pour s’aventurer vers les zones non moins tumultueuses d’une argile mystérieuse. Le mataf en effet, ensorcelé par la terre, entrait en céramique. Peu enclin à la plaisance, il apprit à composer avec le feu et passa avec acharnement la ligne des hautes températures…
Il faudrait, pour parler d’Alain Gaudebert et de son œuvre, filer plus encore cette métaphore de l’océan, convoquer aussi la danse, l’alpinisme ou la corrida… Il me le confiait lui-même, il y a quelques années : « Ça ne passe pas par les mots. Il n’y a que le poète qui peut mettre des mots sur une œuvre… Il n’y a que lui qui la respecte. (…) Si on met des mots tout de suite sur une œuvre, on la diminue, on la ratatine, on la détruit même…. Le feu, c’est ça mon écriture. Peut-être que le feu publie le texte… »
Si l’œuvre d’Alain échappe donc à la description, c’est parce qu’elle constitue elle-même une langue, une écriture. C’est sans doute ce qui l’a poussée à entrer en dialogue avec les poètes et les écrivains. Avec Jean-Clarence Lambert et Marcel Moreau, ils sont pléthore depuis des années à fréquenter l’atelier, à venir poser leurs mots dans l’argile, à les soumettre à l’épreuve du feu.
Inactuelle, cette céramique a à voir avec le jaillissement et les gestes premiers de l’humanité. Elle converse aussi bien avec les signes néolithiques qu’avec les grands maîtres du xxe siècle : Dalpayrat, Chaplet, Delaherche… Elle est originale, car elle est un retour constant aux origines ; le temps est aboli. Aussi Wladimir Weidlé aurait pu dire d’elle : « L’art est un acte, une parole, un feu vivant, une étincelle transmise d’homme à homme. L’œuvre que l’artiste porte en lui ne sera rien si elle n’est pas tout d’abord un puissant accumulateur d’énergie vitale. »
Fou d’émaux et de cuissons au bois, Alain Gaudebert va à contre courant avec la tranquillité des gens qui ont pris un parti venant du plus profond d’eux-mêmes et s’y tiennent solides au milieu de leurs échecs, sereins devant leurs réussites. Les premiers n’étant que des chemins, les secondes des terres prévues sinon promises.
C’est que la pierre philosophale n’est pas un talisman à fabriquer, mais un état d’esprit, de conscience, qui mûrit lentement.
La jeune tradition des émaux somptueux, désordonnés, « rutilants », rêves de verriers enthousiastes autant que de céramistes ne remonte guère au-delà du siècle, amorcée par Carriès, poursuivie de façon plus anecdotique par ses épigones, magnifiée par Chaplet, Delaherche et quelques autres, joliment reprise par nombre d’ateliers plus artisanaux comme celui de Dembach pour s’engluer dans les excès de Vallauris et mourir dans d’ultimes bazars de quartier.
On peut trouver ses origines lointaines dans les trois couleurs
chinoises, et, tout près de nous voir ces « coulures » prendre du
galon dans la peinture de Pollock, désormais baptisées drippings.
En matière de céramique, les facilités du procédé m’en cachaient les richesses réelles quand il y a quelques années je croisais Ginette Monod au Musée des Arts Décoratifs, éblouie par l’exposition Chaplet laquelle m’avait laissé de marbre, campé dans mes préjugés. A peu près au même moment, Bernard Dejonghe frappait un grand coup avec ses extraordinaires tortues qui éteignaient le four de Decoeur, voué à la démolition, par une apothéose convaincante. Ben Lisa en précieux, Champy en superbe, la fête des émaux revenait triomphalement sur scène.
Alain Gaudebert ose retourner aux sources. Son travail évoque plus directement Chaplet ou Delaherche, avec cependant, en arrière-plan, l’ardeur d’un Ivanoff qui soutient une dimension et une ivresse expressionniste dont la chaleur est convaincante. Ses formes restent celles du potier qui accentue les irrégularités de tournage, s’enchante des grands formats, qui joue de la dissymétrie et donne à ses pots un savoureux aspect de croissance spontanée, laquelle ne doit pas faire oublier l’architecture qui les construit.
à-dessus, il se lance à corps perdu dans cet émaillaqe excessif,
aventureux, téméraire, aux épaisseurs interdites, aux superpositions casse-cou, aux coulées volcaniques engendrées par le feu et les cendres du bois où les cuivres – au sens presque instrumental du
mot – lancent les cascades de nuances inimaginables, les sang-de-
boeuf mêlés aux rouges frais, bordés de turquoise, striés de verts de chrome, de bleus, de gris, des noirs métallisés de métal poussé à bout.
Tout ce travail laisse pantois comme après un cataclysme dont on sort miraculeusement. On ne sait pas si c’était « beau », on sent que c’était, que c’est très fort. On aimerait être avec lui au défournement mais avec la mauvaise conscience du guetteur d’ébats intimes. Les grès de Gaudebert font partie de ces oeuvres qu’on adore, subjugué, ou déteste, épouvanté ; pour les uns, il est le vrai céramiste, le magicien, pour les autres, il est à fuir d’urgence. Peu de potiers peuvent lui disputer cette place.
Dans notre pays où la mesure passe pour une vertu cardinale, il est le céramiste « post moderne » par excellence, mais précisément cette mesure est sous-jacente au paroxysme, loin d’être absente de
son travail elle lui confère cette solidité qui en définitive place cette oeuvre passionnée dans une perspective où se distingue plus la Chine que le Japon et lui confère le poids dont manquent tant de travaux baroques actuels venant de nos proches ou lointains voisins
– l’Art céramique est un art profond, secret, aux paysages infiniment renouvelés. Alain Gaudebert fait découvrir de nouveaux et très anciens horizons avec la fougue contenue du potier
accoutumé à faire patienter le feu.
Robert Deblander
En permanence à la galerie Artisanat Réalité, Paris.
En 1996, son travail sera présenté du 4 au 24 juin, au Lavoir, Clamart, du 15 juin au 30 septembre, à la maison du Chanoine, Treigny, du 7 juillet au 15 septembre, à la galerie La Source et le Vent, Erquy.
Alain Gaudebert, dans ses projets, expérimente depuis de nombreuses années. Méthodiquement, fiévreusement. Son regard se pose là où nous passons sans voir. Il relève, note, scrute la matière, la décortique, la modèle. Il s’inspire de falaises, de chemins caillouteux, de blocs érodés par les vents, de murs ruinés. Est-ce le souvenir de ses périples maritimes ou de ses flâneries dans la Puisaye ? Toujours est-il qu’il reprend dans ses carnets de croquis, puis ses sculptures, les détails d’un sillon, les motifs d’un rocher, les strates d’une paroi pour les magnifier….
Commissariat d’exposition : Francis Dreyer, attaché de conservation, Conservation des musées et du patrimoine , Direction de la Culture, Conseil Départemental de la Nièvre. »
Un film de Laurence Bertoia (2009) Extraits : 5mn.
Le temps d’une cuisson chez le céramiste Alain Gaudebert, un maître du feu.
La caméra raconte les étapes de cette cuisson sur cinq jours : enfournement, cuisson, refroidissement, sortie du four.
Alain Gaudebert conduit le feu à la tête de cette étrange machine.
Une cuisson toute à l’œil et à l’oreille qui trois jours plus tard révèlera les œuvres de l’artiste.
Le film partage son titre avec celui du catalogue par Guy Royon. Il a été projeté en 2009, lors d’une exposition rétrospective sur l’oeuvre d’Alain Gaudebert au musée de l’Abbaye de Saint Germain à Auxerre. Il sera visible intégralement à nouveau lors d’une prochaine exposition d’Alain Gaudebert au Musée de la Mine, à La Machine. Date à venir : http://cc-loire-foret.fr.
La terre de Puisaye si propice à la céramique est connue pour sa longue tradition potière. La réalisatrice Mireille Hannon en propose un panorama où elle interroge les potiers, les lieux de formation, les musées …
Une interview d’Alain Gaudebert présenté au centre de son travail, c’est-à-dire au cours d’une cuisson au four au bois, intervient en conclusion de ce documentaire de 26 mn, visible sur le site de France 3 Bourgogne, à la page de l’émission « Pourquoi chercher plus loin ? » .
Extrait de l’échange avec Alain Gaudebert :
Voix off : 6 jours de cuisson chez le céramiste Alain Gaudebert. L’enfournement des pièces dans le four a été effectué avec précaution. Le feu est allumé depuis la veille. Alain charge encore une fois le petit feu, foyer du bas avant de l’obstruer. Le grand feu, foyer du haut, va démarrer
Alain Gaudebert : « Les poteries sont complètement enveloppées par la flamme. Donc quand c’est monté (la température) en 12 heures c’est très bien pour les résultats que je cherche à obtenir. »
Voix off : Sébatien et Virgile sont venus aider Alain. La conduite de la cuisson dans un four au bois est longue et délicate. il faut savoir gérer l’atmosphère du four ,plus ou moins riche en oxygène et monter progressivement en température pour atteindre les 1300 degrés. Des cendres chargées d’oxydes traversent le four en modifiant la couleur des émaux.
Alain Gaudebert : « Dans les émaux il y a des produits qui ont tendance à la volatilisation », il y a donc toujours une part aléatoire. Quand je fais des rouges de cuivre, le cuivre part dans l’atmosphère, il faut qu’il en reste quand même sur la pièce pour qu’elle sorte rouge, mais quelques fois… elles sortent bleu. »
Voix off : Alain Gaudebert aime les émaux épais, lumineux et colorés. C’est un maître en la matière. Ses pièces sont vivantes, comme interrompues dans leur évolution. Il aime le minéral, le surgi des profondeurs.
Alain Gaudebert, montrant des esquisses peintes :« Je me suis un peu obligé à faire des cartons comme ça pour me fixer les idées et pour pouvoir avancer dans le domaine de l’émaillage. Entre le moment où je veux faire une céramique et le passage par le feu… il s’en passe des choses. Donc, entre mon rêve et le résultat, si c’est trop éloigné de mon rêve et bien… je casse ! »
Devant le four : « Vous avez vu comment ils balancent les banderilles (une image pour décrire le geste des cuiseurs, Virgile et Sébastien, qui lancent les baguettes de bois dans le four sur un rythme régulier, ndr) ? C’est un combat, un combat. On cherche un sens à la vie, on cherche tous un sens à l’existence, quelquefois au travers d’un combat. Là je ne baratine pas ! C’est vraiment ça. J’arrêterais peut-être de faire de la céramique, je ne mettrai plus rien dans le four, mais je continuerai de faire du feu avec.
Le feu… S’il n’est pas bien mené, c’est comme un toréador, tu te fais embrocher. … tu t’épuises. J’ai passé beaucoup de temps à m’épuiser littéralement. C’est éreintant quand on ne fait ce qu’il faut faire comme il le fait là (le cuiseur Virgile), pile au bon moment (ouvrir les portes du foyer, enfourner le bois dans la quantité et sur le rythme juste, pas trop tôt, pas trop tard, refermer, attendre quelques minutes, recommencer…ndr). J’ai passé 40 ans de céramique à composer correctement avec ça, mais jamais maîtrisé, jamais dominé.
Voix off : Les jeunes céramistes sont nombreux à choisir la cuisson dans un four au bois plus délicates et plus aléatoire et que celle des fours électrique ou à gaz. Elle réserve de si belles surprises.
Cette maison en bordure de Puisaye est remplie à foison d’un amoncellement minéral apte à satisfaire la curiosité et l’émerveillement de son maître. Il y a les cailloux ramassés au cours des marches, les fossiles dont la région regorge, les coraux, les brachiopodes, les éponges, les morceaux d’animaux de pierre. Il y a les pots qui ornent et peuplent les étagères, et les marches, et les recoins de la maison ainsi pleine de vie. Jusqu’à l’encombrement, ce sont pots de référence, pots choisis soigneusement, ceux des amis, des collègues, leur présence affective ; puis les marmites des tropiques, les jarres pour le plaisir d’une caresse de la main, de la jouissance du souvenir, pots qu’il faut garder à portée du regard pour le travail à suivre. Ils meublent de courbes, de positions, d’attitudes la salle commune et la cuisine. Si l’attention qu’Alain porte aux objets est grande, l’attention portée aux gens est extrême et là encore, la curiosité égale le respect.
Peut-être avait-il appris cette ouverture à la maison où son père éditeur conviait les artistes et les gens de lettres ? Nous-mêmes aurions rêvé de rencontrer les grands tels Malraux, Paul Fort et d’autres dans ces circonstances !
Mais la réalité ne fut pas tendre pour le gamin qui baladait de réels rêves sur le port de Nantes. Dénié son souhait d’entrer aux Beaux-Arts, il devint pilotin dès l’âge de quinze ans, ainsi nourri et logé, remplissant ses indispensables carnets de bord d’observations sur les techniques de pêche, sur le comportement des marins… et ce soin, cette soif de connaissances se retrouvent dans son travail de céramiste. Je m’étonnai que ce fou de feu ait pu passer cinq années pleines sur la mer. «J’ai besoin ‘un contact fort avec les éléments, aussi contradictoires soient-t-ils ! » Marine, chantiers, industrie, vingt ans après…
Alain Gaudebert s’installe à Saint-Aubin Château-Neuf pour des raisons familiales et pratiques, c’est là qu’il « rencontre » les pots de grès de Puisaye et leurs couleurs et coulures dues au feu. C’est l aussi qu’il découvre la terre et le tour du potier. En 1972, il apprend à Ratilly les bases de la céramique que Norbert Pierlot place très haut, les deux hommes parlent de terre, de philosophie, de littérature et d’art. Deux semaines de stage sont peu, mais la force d’attraction devient irrésistible pour l’obstiné qui va observer intensément les ateliers poyaudins, attentif aux informations et aux conseils. Les rencontres avec Ivanoff le choquent, le bousculent, le bouleversent, et le marquent pour toujours. De sa visite chez Deblander à l’heure où celui-ci cuit encore du grès très pyrité dans un vieux four couché, il retient la puissance du feu de bois. Il est aussi l’un des émules de Carriès, séduit par ses émaux mats avec leur éclat de pierre., il s’interroge sur les déformations et les coups de poing sur ses pièces tournées. Il a besoin de l’émail, non en tant que tel, mais pour l’expression picturale. À la bibliothèque de la manufacture de Sèvres, il engrange des centaines de recettes, lit les notes de Salvetat, de Vogt, il étudie de très l’histoire de la céramique du XIXe siècle, avec Chaplet, Dalpayrat, pour essayer de comprendre ce qui a amené les oeuvres de Carriès et Ivanoff. Au Royal College of Art de Londres, il s’entretient avec le père de son ami Lusardi qui lui fait connaître les livres de Rhodes et des autres Américains.
Les vieux pots d’usage qui avait été abandonnés dans la maison en ruine de Saint-Aubin sont aussi devenus ses maîtres, infaillibles par l’équilibre et la permanence de leurs formes, modèles pour le tournage auquel Alain s’adonne avec rage afin de maîtriser ce moyen d’expression. Ivanoff l’a tant inspiré e stimulé que ses premières cuissons sont pour l’émail. Il a construit un four de type canadien – à flamme renversée, avec un seul alandier en forme de V qui distribue la flamme au pied de deux murettes latérales – four qu’il utilise aujourd’hui encore, le cuisant vingt-cinq ou trente fois par ans, et en reconstruisant périodiquement les murettes mangées par le feu.
Beaucoup des amis d’Alain Gaudebert étaient soucieux de voir cet article aboutir. Certains avaient appelé pour m’inciter à le faire, en souder le suivi et s’en réjouir. Plus que des amis, c’est une bande, la « bande à Gaudebert », composée de voyous de l’art, de terriens passionnés et intrépides.
Tous ont à coeur de rendre à « Alain » un peu de la bonté et de l’amitié fière reçues et que Gaudebert scelle d’une poignée de main généreuse et d’un timide regard bleu dès la première rencontre.
D’autres ont avant moi souligné l’extraordinaire maîtrise qu’a Alain Gaudebert du feu et des émaux. Mieux que je ne saurais le faire, deux de ses homologues céramistes, Robert Deblander (1) et Dauphine Scalbert (2) ont précédemment salué cette longue quête, ce long combat menés sans faille par Alain Gaudebert, en le qualifiant respectivement et à sept ans d’intervalle de « Fou d’émaux et de feu » ou de « Fou de feu ». Ces constantes de la couleur et de la cuisson au bois demeurent aujourd’hui, par-delà les influences accueillies et les tentations nourries. S’il ne consigne désormais plus que rarement ses recettes et laisse volontiers aux superpositions aveugles d’émaux, aux caprices du four et du feu, le droit de le surprendre, Alain Gaudebert ne s’en remet pas pour autant au hasard. S’il admet son incompressible présence, il entend le comprendre, l’amadouer, le dompter. La maîtrise reste au terme de chacun de ses chemins.
« La postérité appartient invariablement aux sifflés. » (3)
Les chemins empruntés par Alain Gaudebert furent parfois douloureux tant ils suscitèrent souvent l’incompréhension. On lui reprochais ses trop fréquents changements de caps, ses formes trop complexes ou trop imposantes, son ambition démesurées, sa débauche émaillée, sa truculence plastique, son insatiable curiosité. Alain Gaudebert courbe l’échine et continue, ainsi qu’il le fit toujours, à travailler et à réfuter avec véhémence le caractère excessif de son oeuvre. En privilégiant l’expression, il ne fait qu’ « amplifier la nature, de façon à donner à une oeuvre le caractère d’une synthèse » (4) , rien de plus que le strict nécessaire, en somme….
Il y a plus de trenteans, poussé par le désir de créeruneœuvrepersonnelle, Alain Gaudebertabandonnesesresponsabilitésindustrielles pour se consacrerà la céramique. Il choisit de s’installeràSaint-Aubindansunelongèretraditionnelleoùgisent, nombreuses encore, d’anciennespoteriespoyaudines. Il y construit son four pour cuire au bois, pendant des dizainesd’heures, de la terreémailléeà 1300°.
Façonner la glaise, l’enduire de matièresmystérieusesqueseul le feusaurarévéler, se battreavec la matière, la façonner, la rudoyer, goûter des moments de joie qui peuventêtresensuelsou mystiques, vivre aussi –plus souvent encore- la désespérancedevantl’inachevé car le feu refuse cejour-là de coopérer. Et toujoursrecommencer… pour une renaissance.
Trenteansd’efforts, uneœuvreprogressivement se construit, reconnueaujourd’hui, qui veutdépasser le cadre étroitoù se confinentsouvent les céramistes, pour y associer la peinture, la sculpture, la calligraphie.
Uneœuvre dense, foisonnante, cohérente, soutenue par la recherche de formes sans cesserenouvelées, d’émauxtoujours plus audacieux […]
Alain Gaudebert débute son activité de céramiste en 1975.
EXPOSITIONS INDIVIDUELLES 2000-2011
Avril 2009 – « Alain Gaudebert, l’étreinte du Feu » Abbaye St Germain – Auxerre (Yonne) Septembre 2007 – Galerie des Lombards – Auxerre Février 2006 – Galerie Pierre – Paris Juin 2003 – Galerie Pierre – Paris Octobre 2000 – Galerie Pierre – Paris
PRINCIPALES EXPOSITIONS COLLECTIVES 2000-2011
2010 – « Dédicaces » Musée Bernard Palissy – St Avit (Lot et Garonne)
Galerie de l’Ancienne Poste – Toucy (Yonne)
« Printemps des Poêtes » Atelier 9 Boinot – Paris 13e 2009 – « A l’heure des thés » – Treigny (Yonne)
Salon du Grès contemporain – St Amand en Puisaye (Nièvre)
« Eros » Maison de la Céramique contemporaine – Giroussens (Tarn) 2008 – 101e Salon des artistes de l’Orléanais – Orléans (Loiret)
2007 – Galerie de l’Ancienne Poste – Toucy (Yonne)
Salon de la Céramique – Pont de l’Arche (Eure)
Festival International MANDALA – Wroclam (Pologne)
2006 – « Le Grès Contemporain » – St Amand en Puisaye (Nièvre)
« Terres de Feu » 40 céramistes contemporains – Brest (Finistère) 2005 – Salon d’Automne – Paris
« Les Journées de la Céramique » – Paris
« Couleurs, les peintres de la terre » – Giroussens (Tarn) 2004 – Salon d’Automne – Paris 2003 – « Les Journées de la Céramique » – Paris 2002 – « le Couple céramique » – Dammarie les Lys (77)
« Collection céramique » Musée Palissy – St Avit (Lot et Garonne)
« Intérieurs » Le Lavoir – Clamart (92)« Rouge de Cuivre » Musée Palissy – St Avit (Lot et Garonne)